Le format "RAW"

  1. Introduction
  2. Quels appareils sont éligibles
  3. Le JPEG, format universel
  4. Le RAW, format avancé de prédilection
  5. Limitation des fichiers JPEG lors des corrections "après coup"
  6. JPEG universel : jusqu'a quel point ?
  7. Numérique JPEG et RAW = Argentique Diapo et Négatif
  8. Mais alors, quel format choisir ?
  9. Résumé, conclusion

 

- Introduction -

Le format "RAW" (ou "brut") est un mode d'enregistrement des images par un appareil photo, librement sélectionnable par le photographe, en lieu et place du format classique "JPEG" format d'enregistrement "par défaut" de votre appareil lors de sa livraison et mise en route. Sur certains appareils, on peut également cumuler deux enregistrement de la même image : en format classique JPEG, ainsi qu'une copie en format RAW.

 

 

Nous allons ici aborder le format RAW proposé par les appareils photo CANON, mais il est bon de noter que les grandes lignes sont parfaitement applicables aux autres constructeurs.

Souvent ignoré, par méconnaissance ou en redoutant quelque chose de compliqué au final, il se doit d'être au moins essayé par le photographe souhaitant aller plus loin avec son materiel pour se forger une opinion. Les points forts de ce format d'enregistrement, sa souplesse d'emploi, l'incomparable facilité de travail qu'il offre sur bien des points, mérite qu'on s'y attarde.

 

- Quels appareils sont éligibles ? - [ retour au sommaire ]

L'intégralité des appareils "reflex" numérique Canon, de l'entrée de gamme aux coûteux boitiers pro, permettent ce mode d'enregistrement. Ajoutons également certains "Bridges" et compacts haut de gamme de la marque (la série "G" notamment).

 

- Le JPEG, format universel par exellence - [ retour au sommaire ]

Le JPEG est le format d'enregistrement par défaut de vos images, lors de la livraison et de la mise en route de votre appareil photo. Les raisons de ce choix par le constructeur sont multiples :

En premier lieu, le format JPEG est on ne peut plus universel. En effet, il vous suffit de raccorder votre appareil photo a un ordinateur ou a un lecteur de cartes, pour visionner, sans outil particulier, vos images.

C'est en effet une image "prête a l'emploi" que va vous fournir votre appareil photo. Il est d'ailleurs a noter que sur les reflex Canon, ce souci de simplicité est par ailleurs mis en avant par le fait que c'est le seul et unique mode d'enregistrement disponible en mode "carré vert" (tout automatique).

Analysons la manière dont ce fichier JPEG est créé par votre appareil photo :

Vous prenez une photo a l'aide de votre appareil. Des réglages sont alors appliqués soit en mode automatique, soit en mode manuel, ou partiellement manuel. A savoir, une vitesse d'exposition, une ouverture de diaphragme, une sensibilité "ISO / ASA". Et une balance des blancs.

A ceci s'ajoute les "secondaires" comme le fait de choisir d'enregistrer en mode couleur avec certains réglages sur le boitier, "par défaut" ou modifiés a votre souhait (contraste, saturation...) ou noir et blanc avec ou sans effet de filtre, en définissant une netteté (par défaut ou réglée la aussi a votre guise), en définissant un "style d'image" (Picture Style chez Canon), en appliquant un filtre ludique...

A partir de ces parametres, au moment de l'enregistrement sur la carte mémoire, votre appareil et son électronique embarquée va vous faire un fichier "tout cuit", prêt a exploiter, et pour ainsi dire définitif.

Le vrai avantage du JPEG se situe donc au niveau de cette "immédiateté".

En usage "amateur" il est donc commode, et a l'opposé, aussi pour les certains reporters qui n'ont pas le temps de travailler leurs images avant le bouclage.

Mais également, si cette fonction vous est utile, bénéficier de la possibilité d'imprimer nos photos sans ordinateurs. Pratique en vacances via les bornes "libre service" pour envoyer une petite carte postale très personelle a partir d'une de nos images, par exemple !

Ou si on ne souhaite pas utiliser d'ordinateur, tout simplement, ce qui est également un choix, n'en deplaise, parfaitement défendable même en numérique, via une connexion directe de votre appareil vers ce périphérique.

 

- Le RAW, format avancé de prédilection - [ retour au sommaire ]

En format RAW", le processus est un peu différent. Nous allons schématiser :

Le point commun avec le JPEG est que vous allez vous retrouver, sur la carte mémoire, avec un fichier par photo. A ceci près qu'il portera l'extension .cr2 en lieu et place de .JPG (par ex : img2560.cr2 au lieu de img2560.jpg"

Ce fichier contient votre image, et les paramètres "de base" sont figés (ouverture, vitesse, sensibilité ISO / ASA ), bien entendu.

Mais la différence, c'est que les autres parametres ne sont pas "gravés dans le marbre" mais juste pour ainsi dire "renseignés" par votre appareil, et c'est la tout ce qui fait la force de ce format par rapport au JPEG !

Quand vous allez "ouvrir" votre fichier sur ordinateur, vous allez le voir tel qu'a la prise de vue avec les réglages "satellites" sélectionnés.

Notez qu'Il est, contrairement au JPEG, necessaire d'utiliser un logiciel dédié pour y parvenir*, fort heureusement Il en existe de nombreux, comme l'excellent "Digital Photo Professional" fourni avec votre appareil, mais également des solutions tierces plus ou moins sophistiquées, efficaces, et a des tarifs très variables, allant du gratuit au dispendieux.

* Ceci est de moins en moins vrai, les simples visionneuses disponibles d'office sur Macintosh comme PC tendent a lire ces fichiers avec plus ou moins de bonheur directement, voir a les imprimer, mais sans possibilité de modification.

Ces réglages "satellites" peuvent êtres alors entièrement modifiés dans ce logiciel. A savoir :

  • Balance des blancs
  • Style d'image (Couleur, monochrome, etc ...)
  • Netteté
  • Contraste
  • Saturation
  • Teinte
  • Réduction du bruit en hautes sensibilité...

Et ce, sans aucune perte de qualité d'image ce qui n'est pas le cas en JPEG.

Mais également de nombreux autres paramètres comme la distorsion optique dans de nombreux cas, la correction du vignettage, etc...

Le format "RAW" en "laisse d'avantage sous le pied" également, quand on souhaite travailler plus lourdement ses images par l'outil informatique. Vous bénéficiez d'une plus robuste marge de manoeuvre, la ou le JPEG verra sa latitude de correction bien plus réduite.

Il est interessant de préciser une chose concernant le mode "monochrome" d'ailleurs : si vous avez pris une photo en mode "noir et blanc" en JPEG, via le réglage idoine sur le boitier, il est impossible de revenir en arrière. Votre image est définitivement en noir et blanc. En format RAW, il en va tout autrement, vous pouvez "revenir" en arrière sans aucun soucis :

 

Cette locomotive, destinée a la destruction, a été prise en mode "noir et blanc" lors de la prise de vue, pensais que cela ajouterait un coté "nostalgique" ou mélancolique a la scène....

...En la voyant a l'écran au retour, j'ai beaucoup moins été convaincu par l'exercice de syle que sur le terrain ! J'ai eu envie de lui rendre sa couleur délavée sur un ciel assez pastel ...

Chose impossible en "JPEG", Cette manoeuvre ne pose aucun soucis en format "RAW".



En effet, le réglage "noir et blanc" n'etait qu'un "renseignement"

Notons également que le fichier "RAW" est plus volumineux sur la carte mémoire que le fichier JPEG. Mais ce point, qui suivra d'ailleurs le fichier sur toute la chaine (de votre carte mémoire a votre disque dur) et qui etait assez pertinent il y a quelques temps, est t'il si pénalisant a l'heure ou les cartes mémoires dépassent en moyenne la dizaine de giga-octets et les disques durs les multiples de terra-octets ? Cet inconvénient est de plus très largement balayé dans le cas, fréquent aux débuts, ou l'on multiplie la prise de vue d'une même image sur le terrain pour être sur d'avoir le bon réglage de balance des blancs, de style d'image ...

 

- Ne peux t'on pas proceder ainsi sur un fichier JPEG ? - [ retour au sommaire ]

Question déja posée quand j'ai abordé lors d'explications, les bénéfices du format RAW.

Ma réponse est invariable : Oui, dans une très relative certaine mesure, en plus médiocre qualité quand au résultat final, et si vous affectionnez la perte de temps !

Il est difficile de décrire ceci par des mots. Mais une fois devant un écran avec mon interlocuteur, l'explication deviens limpide en général. L'exemple de "retour a la couleur" ci dessus, n'est possible qu'en format "RAW". mais ce n'est pas tout, loin s'en faut.

Exemple de balance des blancs, une simple correction en RAW :

Du fait de l'emploi du mur comme reflecteur pour le flash, l'ensemble de la scène a été ainsi "teintée" donnant une dominante un peu trop chaude que je ne souhaitais pas conserver..

En un clic, je suis revenu aux valeurs souhaitées.

On peut parvenir assez honnétement a la même simple correction via un logiciel de retouche en JPEG, au prix de quelques manipulations de plus qu'en RAW.

Mais la, compliquons les choses par une franche erreur de réglage a la prise de vue :


Erreur de réglage a la prise de vue, la balance des blancs est restée sur un mauvais paramètre ... Rageant ?

non, car ...


...pas de soucis, et encore moins besoin de reprendre la photo. Il suffit, en "raw" de changer le parametre de la balance des blancs sous le logiciel ...
... comme je l'aurais fait lors de la prise de vue. Sans perte de qualité, et au final l'image est conforme aux attentes et exploitable.

En JPEG, c'est sans doutes possible pour un virtuose de tel ou tel logiciel de retouches. Toutefois, et sous reserves d'y parvenir, au prix d'une perte de qualité des plus sensible, et d'une perte de temps non moins sensible, la ou l'opération s'est déroulée en un clic, sans aucune perte qualitative. Et gratuitement, une fois de plus, le logiciel employé étant fourni avec l'appareil photo.

Rien que pour ce réglage, le format RAW peut être pertinent. Il est toutefois préférable d'employer un écran offrant une restitution des couleurs de bonne qualité et réaliste a minima, calibré grâce a une sonde adéquate, sera un plus appréciable ( pour ne pas dire "indispensable" ) pour de plus fines corrections et ajustages.

Gardez en mémoire ceci : a l'exeption de l'ouverture du diaphragme, de la vitesse d'obturation, et de la sensibilité ISO / ASA, figées a la prise de vue une bonne fois pour toute, en forma RAW tous les autres réglages sont corrigeables et indépendants, après coup, et comme sur l'appareil, chose impossible en JPEG direct après coup, ou bien souvent hélas, en "tirant" un réglage, vous allez "tirer" sur la couverture et influencer un autre point de votre photo, principalement en matière de colométrie.

Chose, sur ce point, qu'ignore superment le format RAW.

Avec l'avantage égalemn de vous laisser tranquille lors de la prise de vue, et de vous permettre de vous concentrer sur l'exposition et le cadrage sans vous demander si tel réglage "satellite" serait plus approprié, sans avoir a farfouiller dans les menus avec un écran en plein soleil et peu lisible, et de multiplier la même prise de vue "au cas ou".

Mais bien d'autres choses sont interessantes et vous les décourvirez a mesure si vous choisissez de conserver ce format. Prenons par exemple la correction de la distorsion de l'objectif :

Passez votre souris sur l'image ci dessous pour mesurer l'avantage de cette fonction, bien pratique lors de l'usage d'un grand angle :

 

En un clic, aucun paramètre compliqué !

Un point interessant également : c'est le logiciel de "développement" du fichier RAW qui va créer le fichier JPEG final, et pas l'appareil et son électronique embarquée.

Qu'est-ce que cela implique ? Que certaines photos prises a haute sensibilités avec des appareils plus agés, et donc moins à l'aise dans le domaine que les plus récents, ne sont plus entièrement dépendantes de l'électronique et du traitement "ancien", mais d'un traitement remis au gout du jour. On prend souvent des photos pour le souvenir, et la plupart peuvent prendre leur valeur une dizaine d'années plus tard, je pense principalement aux photos de famille.

Bien entendu, il faut savoir raison garder, cela ne transformera pas une image bruitée prise avec un des premiers appareils numérique en image lisse comme les derniers modèles. Mais elles peuvent bénéficier d'un sacré coup de fouet et redevenir exploitables. Ne serait t'il pas judicieux passé le strict apprentissage d'envisager a minima les deux formats pour la même image des maintenant ?

 

- JPEG universel - [ retour au sommaire ]

"Oui mais le fichier JPEG est plus facile a partager, via Internet par exemple"

Unniversel, incontestablement. Plus facile a partager ? pas si sûr... Car avec des résolutions de 15 mégapixels en vogue, il est difficile de partager un fichier aussi lourd, et cela ne présente de surcroit aucun interêt pour un visionnage sur écran. Hé oui, la vérité est parfois cruelle : a peine 2 mégapixel sont utiles pour afficher des photos sur un écran "full HD" ... Vous allez donc les redimensionner, et donc employer un logiciel pour se faire. Alors, tant qu'a faire ...

 

 

- Numérique JPEG et RAW = Argentique Diapo et Négatif - [ retour au sommaire ]

Je ne sais plus quel rédacteur d'une revue photo avait fait cette comparaison. Etait-ce un des ( excellents dans les deux cas )rédacteurs de "Réponse Photo" ou "Chasseur d'Images" ? qu'il me pardonne d'avoir employé, sans le nommer, ce parrallèle interessant qu'il a fait avec un talent qui m'est bien étranger en matière de rédaction.

Mais que j'ai repris dans un stage "de l'agrandisseur a l'ordinateur" élaboré a destination des personnes habituées a l'argentique et quoi souhaitent aussi employer le numérique.

Le JPEG : s'apparente fortement a la diapo. Immédiatement visionnable, mais support plus pointu lors de la prise de vue, notamment en terme d'exposition, et assez moyennement malléable après coup. Un support qui vous conviendra alors, mais ne mésestimez pas le RAW quand même, que je vous recommande d'essayer.

Le RAW : s'apparente plus au négatif. A ce propos, il existe un format RAW, élaboré par la societé Adobe et qui tente d'"universaliser" le format raw, nommé DNG, " Digital NeGative", soit littéralement : négatif numérique. Est-ce un hasard ?*

Vous changiez de grade de papier sous l'agrandisseur ? augmentiez le temps de pose ou le reteniez pour pallier a une exposition imparfaite ? bref, appreciez la "matière" et le "répondant" du négatif ? Vos attentes seront (dans une très large mesure) comblées avec le format RAW !

 

- Mais alors, que choisir ? - [ retour au sommaire ]

Difficile a dire dans l'absolu, cela est a voir au cas par cas, en fonction de nos besoins et souhaits. Même si je peux passer pour le chantre du format RAW (seul que j'utilise) a la lecture de cet article, je n'irais pas jusqu'a dire qu'il est ridicule de travailler en JPEG uniquement ! Je souligne juste qu'il serait très dommage pour l'amateur débutant et qui souhaite aller plus loin, de ne pas au moins essayer !

Dans un article informatif a ce sujet du magasine "Réponse Photo", deux rédacteurs et photographes, Jean-Christophe BECHET, utilisant plus volontier le JPEG, et Julien BOLLE, plus fervent adepte du RAW, ont a la fin de l'article, argumenté sur le choix de leur méthode respective. Leur experience prouve bien que chacun a ses méthodes de prédilection.

Il existe toutefois une méthode qui peut permettre de bénéficier d'un format et de l'autre, en simultané.

On appelle cela "Raw + JPEG".

Votre appareil va alors enregistrer deux versions de la même image : une en RAW, l'autre en JPEG.

Il est a noter que la ou il y a quelques années, il n'y avait guère de choix sur certains appareils, les récents tendent vers ... l'exces inverse en proposant une myriade de configurations pour l'enregistrement en simultané, quitte a en frôler l'indigestion...

Retenez simplement ceci : dans un premier temps, ne vous ennuyez pas, choisissez, si vous souhaitez enregistrer en RAW, sélectionnez le format RAW "tout court". En JPEG, le format JPEG "fine".

Et les deux en simultané, le duo RAW "tout court" + JPEG Fine", qui sont les formats les plus qualitatifs fournis par l'appareil, les autres étant secondaires, vous y viendrez a mesure de vos affinités, souhaits, évolutions, besoins ...

Car dans le cas contraire, suivant l'âge de votre appareil et si vous êtes nouveau nevu a la photographie, vous risquez d'attrapper le tournis ! a titre d'exemple : je disposais, au moment de la rédaction de ces lignes, de plusieurs appareils, de types et années variées.

Le plus simple, un "vénérable" 350D, offre 3 option notables : JPEG haute qualité (fine), RAW tout seul, RAW + JPEG haute qualité. C'est simple, posé, net et rapide a comprendre.

Un peu dans la même veine que le précédent, un compact Canon Powershot G11. Après avoir pas mal cherché dans les menus pour activer (ou plutôt libérer) la possibilité d'enregistrer en RAW, je n'avais qu'un choix : JPEG haute qualité (fine) ou RAW + JPEG haute qualité, point barre, pas question de "RAW" tout seul.

Un 5D premier du nom, offre quand a lui, la possibilité d'enregister en RAW tout seul, JPEG, ou en RAW + JPEG, avec pour le JPEG une grande varieté de réglages de résolutions et de compressions, le RAW" restant du "RAW" "pleine qualité.

Un 40D, quand a lui, a failli me faire aller quérir sans délais un bon tube d'aspirine. Car non seulement, il permet tout ce que les précédent permettent, se rapprochant en cela du 5D, mais avec de surcroit ... une version "sRAW", c'est a dire non pas un fichier RAW de Sport, ou Supérieur, mais au contraire un fichier "RAW" de résolution réduite (2,5 mégapixels au lieu de 10), avec a la clef, un total -assommant- de 20 combinaisons possibles !

Son successeur, le 50D, propose de plus un mode "sRAW" supplémentaire, portant le nombre de format RAW a 3 différents ! Ou comment transformer un innocent outil en usine a gaz et de quoi laisser perplexe -sinon le faire fuir- le nouveau venu, n'est-ce pas ?

 

- En conclusion et résumé - [ retour au sommaire ]

Le format JPEG est le format "par défaut" de votre appareil. Il est instantané, dépend de l'électronique embarquée de l'appareil a 100%, et fournit des images de qualité. mais est plus inconfortable a re-travailler après coup. Il est sensiblement moins "encombrant" en matière de volume de données.

Le format RAW est le format idéal pour de la correction légère sans perte de qualité, et plus lourde avec une marge de manoeuvre nettement supérieure. A l'exception du trio ouverture/vitesse/sensibilité, tout est réglable après la prise de vue, comme sur l'appareil photo en lui même. En grande partie indépendant de l'électronique de conversion de l'appareil, et peut ainsi bénéficier d'évolutions dans le temps, a mesure des versions du logiciel utilisé pour le développement.

On peut enregistrer les deux formats en simultané, a la fois en RAW, et en JPEG, de la même image, via un réglage sur l'appareil photo, permettant de "s'essayer" a ce format et définir s'il conviendra ou pas a nos attentes.

 

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